• Belle et Consentante

     

    Justine se réveilla avec un mal de crane hallucinant. Elle ne se souvenait plus où elle était. Gémissante, elle ouvrit les yeux. Une chambre luxieuse, voilà où elle se trouvait, un endroit absolument magnifique, aux draperie d'un beige carmélite, d'une pureté innocente sans pareil. Elle ne se rappelait pas d'être entrer dans une telle chambre. Justine essaya de se lever mais c'était impossible. Des menottes la retenait au lit. La jeune femme s'écroula dans le lit, à bout de force, les oreillers moelleux englobèrent sa tête. Elle tira sur ses poignets. Le métal s'enfonça, froid, presque glacial, dans sa chair. Un hoquet de douleur traversa ses lèvres entrouvertes. Elle soupira, laissant éclater un sanglot silencieux, ses yeux ouverts elle examina le plafond, aussi beige que les draperies.
    Quelqu'un entra. Elle força sa nuque pour voir qui cela pouvait être. Un homme d'âge mur, très beau, avec une expression mature sur son beau visage, il portait un bouc qui lui allait plutôt bien. La jeune femme qui n'avait rien à faire d'autre que de le contempler, commença à se sentir gêner sans savoir exactement pourquoi. Peut-être parce qu'il était beau? Peut-être parce qu'il était charmant? Peut-être parce qu'il était issu de ses rêves les plus fous? Ou parce qu'elle portait un simple négligé qui ne la protégeait en rien, parce qu'elle était menotée à un lit dans ce qui ressemblait à une chambre d'hotel. L'homme sourit en constatant qu'elle l'observait. Elle se sentit gênée par ce sourire, troublée par ce regard posé sur elle.
    " S'il vous plait... détachez moi... "
    Justine supplia l'homme du regard mais ce dernier s'éloigna du lit et saisit quelque chose qu'il était impossible à Justine de voir. Il s'approcha d'elle. Elle sourit, attendant qu'il la libert, persuadé qu'il allait l'aider. Mais l'homme la chevaucha et marcha à quatre patte sur le lit jusqu'à ce qu'il soit au-dessus d'elle. Justine frémit. Il sortit un cran d'arrêt dont la lame sortit devant les yeux effrayés de la jeune femme qui les ferma aussitôt. Elle sentit la lame glisser sur sa peau, entre la naissance de ses seins. Un frisson la parcourut. Entre désir honteux et peur saisissante. Elle ne voulait pas qu'il la blesse, ne voulait pas qu'il la chevauche ainsi, elle qui était sans défense, totalement à sa merci. Il coupa le tissus de son négligé. Justine rouvrit lentement les paupières pour observer la lame glissant sur le tissus puis s'interrompant dans sa ligne droite pour caresser avec sadisme le bout de ses seins.
    " Non, arrêtez... " supplia-t-elle sentant qu'elle manquait de force. " S'il vous plait... "
    Elle agita ses poignets en vain. Les menotes étaient plus fortes que ses os, et elle les sentait qui pouvait céder sous la pression des menotes. L'homme était sur elle et ne négligeait ni ses seins rond et plein, ni ses tétons à fleur de peau, il aimait les sentir fragile, guettait le moindre des gémissements de la jeune femme. Justine serrait les dents pour ne pas lâcher un hurlement lorsque la lame se glissa entre ses poils pubiens pour ne nicher dans sa fente secrète et humide. L'homme la fixait, attendant de voir sa réaction, Justine retient quelques secondes ses larmes mais ne put plus... et versa une larme qui roula sur sa joue. Comment avait-elle attérit ici? Entre les mains de ce monstre. Elle ne voulait pas qu'il la touche. Pourtant, elle frémissait à l'idée qu'il la touche. Quelque chose en elle voulait sentir ses doigts à la place de la lame.
    " Vous ne suppliez plus? " fit-il moqueur.
    Justine lâcha un sanglot. Elle avait honte, oui, tellement honte. Un franc refus, voilà ce qu'elle aurait dû faire. L'homme n'aurait pas prit son plaisir en l'entendant supplier, il n'aurait pas continué. Mais à présent, c'était trop tard. La jeune femme ferma les yeux et gémit à nouveau en sentant les mains de l'homme lui arracher les restes de son négliger. Le pire de tout, était son sexe, dénudé, offert à l'homme, elle le sentait de plus en plus brûlant, mais l'homme n'y avait même pas jeter un coup d'oeil. Elle le sentit la soulever. Etrange, elle ne s'était même pas rendu compte qu'il l'avait libéré. Pourquoi ne s'enfuyait-elle pas? Il s'assit sur le lit et la plia en deux sur ses genoux. Justine ne dit rien, totalement muette. Elle était abasourdie, il l'aurait baillonné, le résultat aurait été le même.
    Avant qu'elle n'ai pu dire un mot, il frappa ses fesses, sans la prévenir, violement, avec force, la claque retentie dans toute la chambre. Justine cria. Le cri franchit ses lèvres avant qu'elle ne put le contenir. Elle ne voulait pas de ça. C'était tellement humiliant. Elle n'était pas ce genre de femme. Pourquoi était-elle là? Pourquoi cet homme voulait-il l'humilié? Pourquoi ne faisait-elle rien pour se défaire de cette situation? Elle était totalement livré à cet homme, ses fesses lui étaient offertes. La seconde claque arriva plus forte encore. Justine secoua ses jambes. La troisième suivit. Justine lâcha un second cri et se mit à pleurer. Il continua de la frapper, ne tenant pas compte de ses cris, ni de ses larmes, ni de ses supplications.
    L'homme s'interrompit. Justine tremblait de tout son corps. Il commença à explorer son sexe pantelant. Jamais elle n'y aurait cru, mais son sexe était tout humide. Elle refusait d'y croire. Non, elle n'avait pas prit de plaisir à cet acte ignoble. C'était pire qu'un viol! Il l'avait frapper, aux parties les plus intimes, qu'il explorait à présent, sans aucune retennue. Elle sanglotait alors qu'il exitait son plaisir. Il n'avait aucune limite. Elle gémit alors qu'elle sentait ses affreux doigts pénétrer en elle. Quel plaisir avilissant...
    Lorsqu'il la laissa sur le lit, elle sanglotait. Il ne l'avait pas prise. Elle avait envie de lui à présent. Le désir la consumait sans qu'elle puisse ne rien faire. Il déposa quelque chose sur la table de chevet. Elle tenta de l'attraper lorsqu'il passait devant elle. Mais il l'évita avec un ricanement très humiliant pour Justine. Ses joues étaient encore humides des larmes qu'elle avait versé, mais ce n'était rien en comparaison de ce que versait son sexe. L'homme s'approcha d'elle. Il poussa sa tête juste devant son tête. Justine rêvait de son sexe en elle. Mais elle ouvrit la bouche, tira la fermeture éclaire et senti le sexe dur et chaud s'engouffrer dans sa bouche.
    " C'est ça... suce. "
    Elle obéit sans répliquer. Il l'avait dresser. La fessée qu'il lui avait donné. Elle la méritait. Comment elle suçait se sexe, avidement, sans réféchir une moindre seconde, c'était un comportement de salope. Une salope méritait qu'on la traite comme telle, qu'on la punisse sans la moindre raison, qu'on se serve d'elle, il ne l'avait pas violé, elle méritait tout cela, oh comme elle le méritait. Elle ferma les yeux, les larmes roulant le long de ses joues. Le sexe s'épaississait dans sa bouche, frappant le fond de sa gorge, le sperme s'écoulant dans sa bouche, onctueux, sucré. Elle le sentit au bord de l'extase. Il déversa sa substance et la laissa la bouche ouverte pantelante. Elle le vit quitter la chambre sans plus d'explication.
    Qui était-il? Elle ne le savait. Pourquoi? La question restait en suspend. La jeune femme resta sans bouger quelques minutes puis s'écroula dans un semi-sommeil. Lorsqu'elle s'éveilla, ses idées était toujours aussi embrouillées. La sensation de viol la repris. Mais elle se souvenait parfaitement de son sexe tout humide, de son obéissante, de son manque de refus. Un viol c'était pour quelqu'un de non consentant. Ce n'était pas son cas. Elle avait tout accepté. Jamais elle n'aurait imaginé qu'elle était capable de telles choses... Son regard se porta sur la table de chevet. Il y avait une enveloppe. Elle la saisit. Sa main tremblait. A l'intérieur, elle découvrit une liasse de billet...


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