• Sauvage, Aby, éternellement sauvage. La femme est un animal, au même titre que l'homme. Toujours sur la défensive, on a classer certaines femmes sous l'étiquette sauvageonne, parce qu'elles refusent de se laisser faire, parce qu'elles vivent et pensent comme si elles étaient dans une jungle. Mais elles n'ont pas tord. La vie est un jungle et y règne la loi du plus fort. Qu'importe si on raconte partout que la vie est douce, facile, que tout ira bien, parce qu'on sait que c'est faux. Pour survivre, il faut se battre, il faut mettre de côté ses peurs et ses regrets pour se battre, aussi fort qu'on peut. Il en va de même dans les relations, sexuelles et amoureuses. Tout n'est pas fait, et rien n'est donné, il faut se battre pour obtenir ce qu'on désire, il faut lutter contre le désir pour aimer l'autre et le respecter, comme il faut écouter le désir de l'autre. Le combat a peut-être changé dans ses formes mais il reste toujours aussi violent.

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  • Reed était en train de consulter son courier électronique lorsque son regard fut attiré par le moniteur montrant ce qu'enregistrait la caméra du couloir. Un homme et une femme dont la chevelure abondante masquait le visage passaient et s'arrêtait devant chez lui. L'avocat se leva lentement, refermant l'écrant de son ordinateur portable.
    Il ouvrit la porte et regarda qui était là. L'homme se présenta à lui, il était un livreur, et avait un paquet pour lui. Portant une salopette en jean bleu et une cigarette au bout des lèvres, Reed le cru sur parole. Il savait très exactement ce que venait livrer ce jeune homme. Sa récente visite à l'usine produisant des cyborgs était imprimé dans son esprit, et il se souvenait parfaitement la date de livraison.
    D'un geste souple et rapide, il signa le bon de livraison. L'homme s'effaça avec un sourire complice. Derrière lui, la jeune femme en question, baissant le visage, les cheveux tombant en cascade devant celui-ci. Elle portait une combinaison blanche comme en porte les ouvriers en chimie. Il l'invita à rentrer chez lui ce qu'elle fit sans attendre. Entre le couloir sombre et inconnu et l'intérieur cosy de l'appartement de l'avocat, le choix était rapide.
    Elle regarda rapidement la moquette onctueuse sous ses pieds, les murs peints de trois nuances d'ocres, les meubles tous en tech et résolument moderne, les canapé moelleux couvert d'un superbe cuir et pour finir la baie vitrée donnant une magnifique vue sur la ville.
    Dans son regard, aucune lumière, aucun éclat. Elle avait ce regard morne des gens qui en ont trop vus. Le simple fait d'être amenée chez un inconnu pouvait donner des peurs à n'importe qui. Mais Reed se doutait qu'on l'avait informer de ce que serait sa vie à présent, celle d'une esclave, totalement dévouée à sa personne et surtout à son plaisir. Et, savoir qu'elle ne l'aimait pas véritablement, bien qu'elle était faite pour le désirer ardement en elle, lire dans ses yeux qu'elle voudrait qu'il ne la touche pas, lui serait infiniment plaisant, il le savait déjà.
    - Belle cyborg.
    La jeune femme cybernétique restait immobile, en plein milieu du séjour de maître Reed. Il s'approcha d'elle et vit qu'elle avait fermé ses yeux, ils étaient humides, ils brillaient à la lumière, ses sourcils se rejoignirent en un menu froncement, et la blancheur de son large front pit la lumière du soleil.
    Il lui releva le menton, lui embrassa la gorge, et l'entendit gémir lorsque sa main descendit la fermeture éclaire de la combinaison. Lentement le tissus léger blanc tomba au sol, dévoilant ses sublimes épaules nues, ses seins ronds et blancs, dont l'envie de les gifler saisit immédiatement Reed qui se contenta de se mordre la lèvre inférieure, son ventre fut dévoilé, puis son sexe, minuscule sous ses poils pubiens roux et frissés, ses cuisses belles et pleines en chair et puis le tissus s'enroula autour de ses chevilles.
    Reed tendit sa main à la jeune femme afin qu'elle puisse quitter son enveloppe, et put constater à quel point sa nudité la gênait. Elle baissa son regard, n'osant croiser le sien, les lèvres se pincèrent, tandis qu'une larme roula sur sa joue qui étaient déjà bien rougie par la honte. Il comprenait sa gêne, sa peur, et aimait la voir trembler à l'idée qu'il la force à s'ouvrir malgré elle.
    Il la contempla, nue, offerte à la vue de tous, et en même temps fermée, son sexe était timidement caché derrière sa fourrure, qui bien que très apétissante devraient être rasée au plus près, songea l'avocat. La jeune femme dût sentir son regard car elle ramena ses bras devant ses seins, les couvrant de ses mains et de ses cheveux assez long pour le lui permettre.
    - Je t'ai achetée, ma chérie, lui dit-il en tournant autour d'elle pour mieux l'observer, Tu étais seule dans cette boutique, parmi tant d'autres, et je t'ai choisit. Désormais tu sera mon esclave. Tu devra m'obéir, quelque soit mes ordres, la seule chose que tu ais à penser de toute la journée est à me faire plaisir, toujours à mon plaisir, qu'importe le tien.
    Elle releva un peu son visage afin que son regard puisse croiser celui de son maître, et il fut frappé par ce regard dénué de toute  crainte, de toute malignité, elle était comme dans un tribunal, ces tendres victimes qui, juste avant qu'on ne les condamne: les yeux grands ouverts, vides d'expression.
    Sa poitrine se souleva avec un soupir inquiet. Il cessa de lui tourner autour pour s'arrêter devant elle, s'approcher d'elle, observant ses beaux yeux vert se brunirent d'un trouble. Il la fixa avec une expression contemplative, tandis qu'il lui soulevait les cheve"ux pour lui dégager les épaules. Elle baissa son regard, sentant son sein se dénudé, sentant le regard de son maître sur elle, ses joues s'empourprèrent d'une rougeur plus crue, et il caressa son visage.
    Il la sentit trembler au contact de sa main sur son visage. Se sentant supérieur, capable de ravager un si beau visage, sa poitrine se gonfla tandis qu'il caressaoit les joues brûlante de la jeune cyborgs. Comme elle était réel. S'en était effrayant.
    - Je suis votre Maître, c'est ainsi que tu t'adressera à moi, en les termes les plus respectueux, et c'est pour cela que tu m'obéira, que tu me chérira, et que tu souhaitera ma venue chaque fois que je serais absent.
    Elle le regardait à la dérobée, effrayée elle-même de croiser le regard perçant de Reed. Il était plutôt vieux, avec son bouc qui le vieillissait, et son visage aux traits fins, ne possédant plus la rondeur de la jeunesse. 36ans, à peine, un homme qui avait vus tant de femmes, caresser tant de croupe, enfoncé son sexe dans tant de chattes humides, il n'avait peur de rien, et savait très exactement où mettre ses doigts pour la faire jouir. Il était grand, le cheveux noir, et d'une constitution élancée, ce qui lui donnait de l'agilité.
    A cet instant, il sentit qu'elle continuerait de l'étudier s'il n'y mettait fin, et l'envie d'une giffle le repris, plus puissante à présent. Sa main partie sans qu'il puisse l'arrêter et frappa violement la joue de la jeune femme qui baissa aussitôt les yeux, laissant échapper un sanglot.
    - Tes yeux ne doivent pas croiser les miens, évite de contempler mon visage, car quoi qu'il soit ravisant, tu risquera de croiser mon regard, et ce simple échange de regard pourrait t'être pénible.
    Elle n'osa se tourner, restant renfermer sur elle-même. Il la força à lui faire face, et dégagea sa belle poitrine et son sexe de ses mains protectrice. Un sourire envahit son visage lorsqu'il songea à une manière d'entrer en matière avec sa jolie esclave toute dévouée mais encore ignorante de beaucoup de choses.
    Il caressa à nouveau le visage de la jeune femme qui ferma ses yeux sous la caresse. Ses doigts glissaient sur la peau, douce et velouté. Son index s'arrêta sur les lèvres de la jeune femme et les força à s'ouvrirent, il y glissa son doigt, sentant la langue de la jeune femme se rétractée, ne sachant que faire. L'avocat sourit, si innocente...
    - Honnore ce doigt, lèche le car il est ton maître autant que je le suis, suce le, car il te gouvernera aussi bien que moi.
    La jeune femme émit un léger tremblement. Elle ne comprenait ce qu'il disait mais sentait quelle situation dégradante cela pouvait être pour elle. Sa langue parcourue le doigt offert, introduit de force dans sa bouche chaude. Au début hésitante, elle léchait le doigt, avec une petite langue insidieuse, et puis elle suça, sa langue devint une caresse, ses paupières se fermèrent tant elle était absorbée par la tache mais le rouge ne quittait plus ses joues brûlantes.
    Il ôta son doigt lorsqu'il le sentit bien propre et bien humidifié. Sa salive lui servirait de lubrifiant. Mais la jeune cyborg l'ignorait encore. Précis, il porta sa main à la chatte qu'il trouva humide et chaude. Très peu humide, mais déjà ce simple suçage l'avait fait désirer et prendre un peu de plaisir. Nullement étonné, il la força à écarter ses cuisses car elle avait du mal à les tenir un tant soit peu écarter. Elle lâcha un gémissement, gênée d'être ainsi offerte à un inconnu, lorsqu'il enfonça son doigt tout humide dans sa chatte tendre et gonflée par le désir.
    Ce fut comme dans du beurre, le doigt s'enfonçait et ressortait pour mieux rerentrer avec une telle facilité. Reed, sentit le léger mouvement de hanche et entra un second doigt. Elle sécrétait le long de ses doigts, sans qu'elle ne puisse rien masquer ni de ses pertes ni de son désirs, elle ne pouvait que baisser les yeux et pleurer doucement entre deux gémissements de plaisir. Tant de honte, tant de plaisir, le tout mêlé dans ses larmes qui séchaient sur ses joues.
    - Oh, mon maître, fit-elle, d'une voix mal assurée.
    Il reconnu qu'elle était belle, qu'elle possédait une très jolie voix, et se dit qu'il serait heureux de l'entendre à l'occassion. Ôtant son doigt, il la sentit hésitante, ses hanches poursuivant leur mouvement, ce qui se trouvait être très indécent. Il sourit et porta son doigt à la bouche de la jeune femme qui fit quelques mouvements de tête pour échapper à ce doigt couvert de son foutre. Mais Reed, força à nouveau le passage de ses lèvres fines, et elle dût lécher sa substance, la honte la couvrit lorsqu'elle en découvrit son goût sucré.
    Néanmoins, malgré toute la honte et la peur qui la possédait, elle astiqua du mieux qu'elle put l'index puis le second doigt. Elle se sentait totalement dépendante et à la merci de cet homme. Reed le savait. Il retira ses doigts de la bouche de la jeune femme et se les essuya sur son visage. La jeune femme baissa son visage laissant échapper un sanglot alors qu'elle réalisait ce qu'elle venait de faire.... goûter à sa propre substance. Honte à elle!

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    La masturbation a toujours eu une place importante dans ma vie. Lorsque j'étais alors qu'une gamine de 10, je passais mon temps à m'assoir à califourchons pour le simple plaisir de sentir mon sexe se frotter contre une surface rugeuse, et plus la surface était rugeuse, plus je faisais de léger mouvements de va-et-vien bien involontaire. J'aimais aussi à la piscine passer au dessus des barrières flottantes que je glissais entre mes jambes, les petits flottant excerçaient alors une pression tout à fait excitante. Mais à l'époque je ne savais rien de ce plaisir qui me traversait. Je prenais ça comme un jeu, bien consciente que s'il l'on me surprenait dans cette position on se poserait des questions. J'ignorais bien des choses, mais déjà à ce tendre âge j'écoutais mon corps.
    On dit souvent que les femmes ne savent pas écouter leur corps, je pense pas que ça soit vrai. Qu'il est difficile de faire taire son désir, plus encore sa frustration. La seule chose qui puisse nous soulager, nous amener à être mieux dans notre peau est de se masturber à chaque fois que notre corps en a besoin. Et il est vrai que cet acte libert d'une tension nerveuse et procure un soulagement de tout les muscles à l'exception de celui du sexe, qui reste encore tendu quelques minutes. Le plaisir qu'il procure donne un soulagement, bien que également, un léger sentiment de honte, surtout si l'on a obtenu seule.
    Mais le plaisir de se masturber peut aussi se prendre à deux. Les doigts d'un hommes ou sa langue sont infiniment plus excitant que ses propres doigts car on ignore où il va exercer sa pression, car on ne sait pas quand il nous délivrera de ce désir insoutenable, la honte est beaucoup moins présente, parce qu'on est deux, parce qu'on fait un acte amoureux. Généralement, on a tendance à croire que la masturbation à deux est un simple préliminaire, ce qui peut également être le cas pour se lubrifier, mais la masturbation peut être un acte à part entière, donnant du plaisir, et beaucoup plus discret que l'acte de pénétration à proprement parler.
    Avec mon dernier petit ami en date, notre premier rendez-vous amoureux ou plutôt sexuel devrais-je dire, à part le célèbre et non moins classique diner en ville, était au bord de la seine, en yvelines. On s'est d'abord caliné, pris dans les bras, comme deux amoureux languis d'amour. Mais on savait tout les deux ce qu'on voulait. Je voulais son sexe chaud dans ma main, et il voulais m'entendre gémir tandis qu'il glisserait un doigt dans ma petite chatte mouillée. C'était toujours enlacé, qu'on s'est masturbé. Il n'y eu pas de changement d'état, ce fut un glissement naturel. On était toujours au bord de la seine, il y avait toujours ces péniches qui passaient devant nous, et j'avais la main dans son slip, couverte de foutre, mes joues rosies de plaisir, mon coeur battant à se rompre, et je fixais ses lèvres fines formant un délicat sourire. Le fait qu'on soit en extérieur, visible et à la fois invisible, était terriblement excitant, mon amant tremblait qu'on découvre la bosse sous sa chemise, son jean ouvert, je riais de sa peur, lui qui avait tant d'expériance et moi si peu. Je me suis découverte plus cochonne et passionné que cet homme qui connaissait bien mieux le sexe et le plaisir que moi. Il y avait de la magie dans l'air ce jour là. J'ai pris mon plaisir en le masturbant, juste avec ma main, je me sentais doter d'aile, et capable de n'importe quoi, c'était bien plus fort que le sentiment amoureux, c'était celui de pouvoir faire jouir d'une seule main sous le regard des autres qui passaient sans nous voir.


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  •  " La masturbation fait partie à par entière de la sexualité chez la femme comme chez l´homme... "
    L. 34ans

    " je me masturbe souvent dans la baignoire, seule toujours, moins fréquemment que dans mon lit pour une raison simple : le manque de temps. Contrairement au lit, ce n´est pas un rituel, pas de prémédittion, juste une envie soudaine, surement l´eau, cette sensation d´apesanteur, l´esprit prend le pas sur les actes et mes doigts sont remplacés pas le jet, plutôt chaud et plutôt puissant... "
    N. 40ans
     
    " Je ne sais pas si la masturbation est importante, du moins pour des personnes vivant en couple mais pense qu'elle peut apporter un complément de plaisir aux deux partenaires s'ils partagent, bien entendu, la même philosophie sur ce point et sur le plan sexuel... "
    E. 42ans
     
    " Ces moments là j'oublie ce qui me déplaît en moi et ne laisse place qu'au plaisir. Je vois aussi transparaître les signes physiques de l'excitation et cette impression de mutation de mon corps, accroît mon excitation... "
    E. 24ans
     
    " Je me masturbe plutôt seule. Mais si mon partenaire le souhaite, j'aime aussi le faire devant lui. C'est alors un autre plaisir, lié aux jeux des regards, à l'effet que l'on fait sur l'autre que l'on peut lire dans ses yeux, sur son visage, et sur son sexe. "
    A.E. 35ans
     
    " Aussi loin que remonte ma mémoire, je me suis toujours masturbée. Pour moi, la masturbation est aussi naturelle que boire, manger. Pourtant rare sont les femmes qui parlent de leur mastrubation.. "
    C. 35ans
     
    Issu de Voyages Intérieur
     

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  • La beauté du geste...
    Une main glissant jusqu'au bassin
    La pureté du désir...
    Mes lèvres intimes tremblantes
    Je ferme mes paupières
    Au frontière du plaisir...

    Qu'aurais-je fais?
    Le désir m'emplissait
    Rien ne pouvait
    Enlever ni la frustration
    ni la douloureuse chaleur
    S'enfouissant en moi
    Délectant mon ennuis

    J'aurais voulu
    L'avoir dans ma bouche
    Ce sexe durcit de désir
    J'aurais aimé
    La sentir sur ma fesse
    Cette main virile
    Mais je n'étais que seule...


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